Vivre sa foi, les sacrements
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Onction des malades
    La visite des malades et des personnes âgées est un geste fraternel, que tout e femme et tout homme savent accomplir sans qu’ils aient besoin d’être motivés par la foi.
    La visite constitue une démarche gratuite et amicale qui ravive l’espérance en celui qui la reçoit.
    Dans une perspective de foi, visiter un malade, c’est visiter le Christ, car celui-ci a voulu s’identifier à tous ceux qui souffrent.
    La visite des malades et des personnes âgées est une charge qui incombe à toute la communauté des chrétiens, et particulièrement à la communauté paroissiale.
Quelle grâce apporte l’Onction des malades ?
    La grâce première du sacrement est celle du réconfort, de la paix et du courage, pouvant ainsi aider à la guérison. Nul n’ignore l’interaction du physique et du moral. En conférant un don particulier de l’Esprit saint pour aider le malade à faire face à son mal, le sacrement le met dans les dispositions les meilleures pour que la thérapeutique entreprise par le médecin produise l’effet escompté.
À qui donne-t-on l’Onction des malades ?
    A ceux dont la santé commence a être sérieusement atteinte par la maladie ou la vieillesse. Quelqu’un peut avoir une maladie grave, comportant un danger vital certain, mais en sachant qu’il a normalement de fortes chances de guérir. Il va ainsi à la veille d’une opération importante. Dans ce cas, le sacrement apportera sa grâce de patience et de confiance.
    Il en va de même pour les vieillards dont les forces déclinent. Mais, si l’Onction des malades n’est pas le sacrement des mourants, elle n’est pas non plus celui du troisième âge ! Elle ne peut donc être proposée qu’à des vieillard dont la fragilité s’accentue.
LA VISITE A DOMICILE
    Sans doute la visite du prêtre a-t-elle un impact particulier auprès d’un malade chrétien, car il espère du ministre du Christ une parole qui, à ses yeux, aura plus de poids. Pourtant, chacun de nous doit se sentir concerné !
    La visite se situe d’abord au plan humain, mais la (le) malade attend du messager de la communauté chrétienne un geste de réconfort dans la foi, un mot d’espérance en Jésus, une invitation à prier ensemble.
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